Au mois de Juin, le fond, jaune, de la rivière était tapissé de têtards, noirs.
En marchant, j'avais peur de les écraser, mais ils savaient devancer mon pas.
Quand on s'arrêtait pour observer la mue d'une libellule, nos pieds se trouvaient couverts de ces petites créatures gélatineuses,
en chemin, elles aussi, vers leur prochaine métamorphose.
Très beau billet, dessins et texte...
RépondreSupprimerMerci Soluto. Je me remets un peu au vrai blog et à l'écriture...
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